I La défaite vous révèle à votre France éternelle Votre jeunesse ne peut se contenter d'une nation humiliée Vous montrez à vos aînés, le chemin de la liberté En sauvant vos frères de la tyrannie en défiant votre ennemi
II Lorsque sonne la victoire vos 20 ans reflètent l’espoir Jeune cyrard, la gloire vient couronner votre idéal d’officier Vous cultivez l’exigence, dans l’amitié, l’obéissance Pour que demain succède au casoar le fier emblème de Bayard
|
|
III C’est au royal étranger, en Indochine que vous servez Ardent guerrier, courageux lieutenant nul ne retient votre élan Terrassant ses adversaires apparaît un chef exemplaire Blessé meurtri vainqueur dans les rizières que vous quittez, le cœur amer IV Lorsqu’au soir de votre vie, on vous appelle en Algérie Commandant vos chasseurs dans les Aurès en capitaine sans faiblesse C’est dans le Constantinois que se livre un dernier combat Dans un assaut, pris sous le feu rebelle naquit un nouveau Bournazel
|